Entre 2013 et 2023, plus de 700 nouvelles espèces ont été découvertes dans le bassin du Congodans afrique centrale, la deuxième plus grande forêt tropicale du mondequi met en évidence le une biodiversité sans précédent dans la région. La recherche a documenté dix espèces de mammifères, deux espèces d'oiseaux, 430 types de plantes, 140 espèces d'invertébrés, 96 espèces de poissons, 22 amphibiens et 42 reptiles. L'identification de ces nouvelles espèces découvertes afrique centrale souligne l’importance des efforts de conservation et l’importance de la région en tant que foyer de biodiversité.
Parmi les pays, le République démocratique du Congo a enregistré le plus grand nombre de découvertes, avec 259 espècessuivi de Gabon avec 262, Cameroun avec 238, Guinée équatoriale avec 59le République du Congo avec 65 et le République centrafricaine avec 25. Même si certaines de ces espèces sont encore inconnues science, Les habitants les connaissent peut-être depuis de nombreuses années..
Nouvelles espèces en Afrique centrale dans tous les groupes taxonomiques
De nombreuses orchidées, fougères et plantes à fleurs de genres tels que Café, Hibiscus, Didélotieet Grangée. De nouvelles espèces de fourmis, coléoptères, araignées et lucioles.
Découvertes de poisson et poisson-chat électriquesalors que les 22 espèces étaient des grenouilles. Il Crocodile d'Afrique centrale à museau finqui a été identifié comme une nouvelle espèce en 2018, faisait partie des reptiles découverts, aux côtés de serpents aveugles, cobras, vipères de brousse et geckos. Parmi les oiseaux, ils ont été identifiés un hibou et un merle des forêts. Parmi les mammifères se trouvaient trois souris, deux chauves-souris, quatre musaraignes et un nouveau singe..
Le rapport intitulé « Nouvelle vie dans le bassin du Congo : une décennie de découvertes d’espèces (2013-2023) » souligne l'importance de la biodiversité et le besoin urgent de conservation de l'un des écosystèmes les plus vitaux au monde.
Au cours des dix dernières années, 742 nouvelles espèces de faune et de flore ont été découvertes dans le bassin du Congocomme l'a révélé un nouveau rapport. Cet ouvrage documente les études de centaines de scientifiques d'universités, d'organisations de conservation et d'instituts de recherche du monde entier.
Révèle une étonnante variété de nouvelles espèces, notamment des plantes, des invertébrés, des poissons, des amphibiens, des reptiles, des oiseaux et des mammifères jusqu'alors inconnus..
Protéger les écosystèmes d’Afrique centrale
Les résultats illustrent non seulement la richesse du bassin du Congomais aussi le grand nécessité de déployer des efforts de conservation pour protéger leurs écosystèmes fragiles. Connu sous le nom de 'poumon de l'Afrique', jeLe bassin du Congo est le plus grand puits de carbone au monde. C'est aussi la plus grande tourbière tropicale du monde. S'étendant sur six pays, sa forêt tropicale assure la sécurité alimentaire et un moyen de subsistance essentiel pour les populations autochtones et locales et sert d’habitat essentiel pour les espèces en voie de disparition.
Les écologistes travaillent aux côtés des gouvernements, des organisations partenaires, des communautés locales et des groupes autochtones pour protéger ces écosystèmes. Des programmes de biosurveillance à Certification FSC des concessions forestières, leur objectif est de garantir que les générations futures découvrent les merveilles de Bassin du Congo.
Le rapport souligne également le rôle des savoirs autochtones dans la conservation. Les communautés autochtones, qui coexistent avec ces forêts depuis des générations, sont essentielles à la préservation et à la compréhension de cette biodiversité. De nombreuses espèces présentées dans ce rapport, bien que décrites récemment dans la littérature scientifique, sont familières aux communautés locales depuis des générations.
Les gouvernements de la région ont convenu de placer 30 % de leurs terres sous une forme de protection d'ici 2030 et les organisations environnementales les soutiennent pour identifier ces zones et les protéger efficacement.
Certification du Forest Stewardship Council (FSC) comme outil de conservation
Une étude récente au Gabon et en République du Congo a révélé qu'en concessions forestières certifiées par le Conseil de gestion forestière (FSC) on trouve un plus grand nombre de grands mammifères que dans les forêts non certifiées. Le certification de durabilité Il s’agit donc d’une méthode éprouvée tant pour protéger la biodiversité et créer des avantages économiques pour les communautés et les gouvernements.
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