
Il Concept de diversité sombre qui peut être traduit par une diversité sombre ou absente, C'est ainsi que l'identification des espèces potentielles est connue, qui pourrait vivre dans un certain endroit, mais qui sont absentes. C'est une nouvelle façon de mesurer l'impact de l'activité humaine, dont le travail le plus complet à ce jour a été publié dans le prestigieux magazine Nature.
Les résultats montrent que, Dans les régions ayant peu d'impact humain, les écosystèmes contiennent plus d'un tiers des espèces potentiellement adéquatestandis que d'autres espèces restent absentes pour des raisons naturelles, comme une dispersion limitée. D'un autre côté, dans les régions très affectées par les activités humaines, les écosystèmes n'en contiennent qu'une espèce potentielle sur cinq.
Le Mesures traditionnelles de la biodiversité, comme le simple nombre du nombre d'espèces enregistrées, Ils n'ont pas détecté cet impact parce que la variation naturelle de la biodiversité entre les régions et les écosystèmes a caché la véritable portée des activités humaines, selon les chercheurs.


Diversité noire (diversité sombre) ou absente
ETL'Institut d'écologie pyréenne (IPE) participe à une étude mondiale de la «diversité noire (diversité noire) ou absente dans laquelle les légumes absents ont été analysés Dans plus d'une centaine de régions du monde, parmi lesquelles le parc national d'Ordesa et de Monte Lost et qui révèle l'impact caché de l'activité humaine sur la nature.
Plusieurs centres CSIC ont collaboré dans un projet international publié dans «Nature» qui comprend les effets de L'action de l'homme en l'absence d'espèces indigènes de plantesconnu sous le nom 'diversité sombre '.



Le La végétation naturelle manque généralement de nombreuses espèces qui pourraient vivre dans ces écosystèmes, Surtout dans les régions ayant un fort impact humain, selon une nouvelle étude publiée dans Nature et coordonnée par l'Université de Tartu (Estonie), rapporte le CSIC à Aragon.
Plus DE 200 scientifiques du Darkdivnet International Consortium, y compris des chercheurs du Pyrénean Institute of Ecology (IPE-CSIC), ont analysé les plantes dans près de 5 500 complots distribué dans 119 régions du monde.
Sur chaque site, des équipes locales Ils ont enregistré toutes les espèces présentes et calculé la « diversité sombre », les espèces indigènes Cela pourrait y vivre mais est absent. Cette nouvelle façon de mesurer le Biodiversité Il a permis de détecter l'impact caché des activités humaines sur la végétation naturelle.
L'action humaine et ses conséquences sur les écosystèmes
Dans les zones Avec une faible intervention humaine, les écosystèmes abritent généralement plus d'un tiers des espèces potentiellement adéquates, Alors que les absences s'expliquent principalement par des processus naturels tels qu'une dispersion limitée.
Plutôt, Dans les régions très touchées, un seul taxa approprié sur cinq est présent. Les mesures de biodiversité classiques, telles que le nombre d'espèces observées, n'ont pas détecté cet effet car la variation naturelle entre l'influence humaine masquait les écosystèmes.
Ce La recherche montre que de nombreuses espèces indigènes, bien que toujours présentes dans la région, ont disparu des écosystèmes chez ceux qui pourraient vivre, réduisant les fonctionnalités écologiques locales.
À Aragon, L'étude a été coordonnée par IPE dans Jacapar la main du chercheur Ramón et Cajal Guillermo Bueno et le conservateur de l'herbier Pablo Tejero.
Échantillonnage Il a eu lieu entre 2023 et 2024 dans le parc national d'Ordesa et de Monte Lost, où 30 parcelles de végétation de 10 × 10 mètres étaient caractérisées dans différents types d'habitats, sous la permission et avec la collaboration du parc national, à qui son soutien est profondément apprécié.
Je sais aussi Ils ont établi deux graphiques de référence de 50 × 50 mètres avec la collaboration de la technique de l'IPE-CSIC Blanca Santamaría et de plusieurs personnes et étudiants volontaires (Il convient de souligner Daniela Barria, Pablo Domínguez, Alba Lopez et Stela Vlahou, entre autres).
Ainsi, le bijou naturel aragonais a été intégré à cette étude mondiale pour comprendre comment Les activités humaines affectent la diversité absente. De plus, des échantillons de sol ont été prélevés dans le but d'analyser à l'avenir le diversité Caché de champignons, en particulier les symbiONNES MYCORRIN.
Le degré d'impact humain
Pour Mesurez le degré de perturbation humaine, l'étude a utilisé l'indice d'impact humainqui comprend des données sur la densité de la population, l'utilisation des terres (comme l'agriculture ou l'urbanisation) et les infrastructures. Il a été constaté que le diversité Le réel des plantes dans un site diminue considérablement à mesure que cet indice augmente dans l'environnement, même à des centaines de kilomètres.
«Il est inquiétant de voir que l'impact humain atteint même des zones protégées. Les effets de la pollution, des incendies induits, de la collecte illégale et de la fragmentation de l'habitat Ils limitent le retour des espèces absentes. Nous avons également vu que le maintien d'au moins 30% du territoire bien conservé dans une région atténue qui impact, ce qui soutient l'objectif mondial de protéger 30% de la planète d'ici 2030 », explique Meelis Pärtel, auteur principal de l'étude.
«Nous avions développé la théorie de la diversité sombre et les méthodes pour l'étudier, mais nous avions besoin d'un réseau d'échantillonnage mondial pour pouvoir faire des comparaisons mondiales», Explique-t-il. Efe / efe.com
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