La plantation qui permettra la récupération de l'estuaire Corcubion Elle sera réalisée par les conchyliculteurs de la confrérie locale et bénéficiera de l'aide du Ministère, qui s'est engagé à améliorez significativement la production de vos espaces de travail.
Le ministre de la Mer, Alfonso Villares, accompagné de la directrice générale du développement de la pêche, Marta Villaverde, et du directeur du Centre de recherche marine (CIMA), Carlos Gabín, a participé ce mardi à la libération de 84 000 unités de palourdes japonaises pour semence à Corcubión.
Ce lot, qui élevé dans les installations dont dispose cette entité à Ribadeo et a été livré aujourd'hui aux conchyliculteurs de la confrérie de La Corogne, il est le résultat des expériences de recherche menées avec ce bivalve, de la culture larvaire au pré-engraissement dans le centre de Ribadeo.
Les bivalves ont une taille moyenne de 14,71 millimètres et équivalent à 37 kilogrammes de graines. Les travaux prévus seront réalisés en deux jours. Celui d'hier, dans lequel La plantation à Corcubión a été réalisée depuis un bateau dans une zone subtidale et celui d'aujourd'hui, dans lequel 24 000 unités seront distribuées dans une zone différente.
L'assistance technique de la confrérie de Corcubion surveillera et fera évoluer le processus, en communiquant les données et les enregistrements à la CIMA, d'où ils compléteront les informations nécessaires pour atteindre les objectifs de leurs enquêtes. Ce modèle de coopération permet avance dans la récupération des zones de productionen plus de pouvoir en apprendre davantage sur l'adaptation et la survie de ces lots en milieu naturel.
Les supports sous lesquels ces tâches sont développées dans Corcubion Il s'agit, d'une part, de ceux destinés aux projets collectifs de conservation et de restauration de la biodiversité et des écosystèmes marins. dans le cadre d’activités de pêche durablecofinancé par le Fonds européen pour les affaires maritimes, la pêche et l'aquaculture. (Fempa).
D'autre part, les contributions destinées à des projets de régénération permettant améliorer la productivité des banques de produits de la mer avec des problèmes de pertes de production, entièrement financées par les fonds propres de la communauté autonome.
Il s'agit donc d'une initiative qui, comme l'a rapporté le conseiller, vise à conserver la ressource, la restauration de la biodiversité et des écosystèmes marinsainsi qu’éviter la perte d’espaces naturels. Dans le même temps, ce soutien contribue au développement de projets visant à promouvoir le secteur de la pêche en tant qu'élément clé de l'économie bleue de Galice et dans une perspective environnementale et socialement responsable. En fin de compte, a souligné Villares, l'objectif est de stimuler la productivité bancaire et l'emploi dans le secteur.
Plus de livraisons de semences
Le ministère de la Mer a livré 2 686 715 unités de graines depuis 2023 : 1 460 100 de palourde japonaise, 1 184 015 de limace et 42 600 unités de palourde fine. De plus, le couvoir compte environ 2 millions d'unités supplémentaires qui devraient bientôt atteindre la taille nécessaire au transfert dans la nature. Une partie a déjà été transférée au mini-couvoir O Vicedo, dépendant du CIMA, d'une taille de 5 mm pour le pré-engraissement.
Autres espèces pour améliorer l'estuaire de Corcubión
Le Centre de recherche travaille également sur le processus de sélection de souches de coques adaptées aux conditions de salinité extrême. Pour réaliser cette étude, elle dispose d'une action de recherche REDEMAR, dans laquelle, en collaboration avec le personnel de recherche du Campus de Lugo, Ils soumettront les bivalves à des conditions extrêmes dans la recherche d'individus qui survivent à ces situations.
La Xunta de Galicia s'est engagée à régénérer l'estuaire de Corcubion et pour cela, il a fourni 84 000 unités de graines de prunier japonais, qui ont été cultivées au CIMA de Ribadeo qui, en collaboration avec le Campus Terra de Lugo, travaille à sélectionner des souches de coques capables de s'adapter aux conditions de salinité extrême, conséquence du changement climatique.
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