Le 21 octobre, le Sommet mondial de la biodiversité, COP16qui devrait se terminer le 1er novembre. Il s'agit de la première COP à se tenir après l'approbation du Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal et son respect doit être assuré, ce qui, entre autres, doit être l'objectif premier du COP16. Le COP16 doit veiller à ce que les différents pays commencent à appliquer les objectifs et les buts du Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréalqu'il y ait le financement nécessaire et de nouveaux mécanismes pour parvenir à l'intégration de la biodiversité dans les politiques sectorielles.
La biodiversité est la base de la vie sur Terre, elle protège la santé, maintient l’économie, combat le changement climatique et soutient les systèmes agricoles qui nourrissent la planète, entre autres choses.. En partie à cause de tout cela, elle est confrontée à la plus grande crise que l’espèce humaine ait connue. Le modèle de production et de consommation actuel continue d’accélérer la sixième grande extinction. La question de savoir si cela commencera à changer dépendra, dans une large mesure, de la question de savoir si COP16 ça va avoir lieu à Cali, comprends-le En 2030, la perte de biodiversité commencera à s’arrêter.
Les thèmes centraux de cette COP16 sont :
- Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal (points 8, 10, 15 de l'ordre du jour). Tel qu'approuvé à la COP15, les pays doivent présenter leurs plans nationaux pour mettre en œuvre le Cadre mondial pour la biodiversité. Il est essentiel que pendant la COP16 Un mécanisme de suivi exigeant et une stratégie de mobilisation des ressources sont approuvés, ce qui permet notamment aux pays en développement de mettre en œuvre de manière adéquate le MMBKM.
- Intégration de la diversité biologique dans tous les secteurs (point 17). Il s'agit d'une question centrale, car tant qu'un modèle de développement non durable persistera dans les différentes politiques sectorielles, la biodiversité continuera à disparaître, quels que soient les efforts consacrés à la conservation de certaines espèces.
- Financement (ordre du jour 17). Des progrès sont attendus dans le financement de mesures visant à rendre compatible le développement des pays économiquement les moins avancés avec la conservation de la nature. Un engagement majeur est nécessaire pour contrôler et éliminer les investissements du secteur financier dans des activités destructrices de la biodiversité (mines, énergies fossiles, macro-infrastructures, etc.), ainsi que l'élimination des subventions et aides publiques à tous ces secteurs et activités incompatibles avec la vie sur la planète (agroalimentaire, aviation, exploitation minière des océans, prospection d’énergies fossiles, nucléaire, etc.).
- De nouvelles techniques génétiques dangereuses (ordre du jour 9, 24). Des décisions doivent être prises pour appliquer le principe de précaution, pour contrôler ou interdire directement certains nouveaux développements technologiques à haut risque, tels que biologie synthétiquele forçage génétiqueou l'utilisation incontrôlée et injuste pour les populations autochtones des informations numériques sur les séquences de ressources génétiques.
- Crise climatique et crise de la biodiversité (ordre du jour 25). La Conférence doit adopter des décisions garantissant que les mesures de lutte contre le réchauffement climatique n’auront pas pour effet secondaire d’aggraver la crise de la biodiversité. Citons par exemple le risque que les mécanismes de compensation des émissions de carbone impliquent des investissements dans des macro-infrastructures ou des plantations forestières d'espèces exotiques, entre autres mesures susceptibles de détruire la biodiversité locale.
La COP16 se déroule dans l'un des pays les plus riches en biodiversité au monde, la Colombie
Son président actuel, Gustavo Petro, s'est activement impliqué à la fois dans la promotion de la rectification des politiques ultralibérales qui détruisent la nature dans son pays et dans l'implication des communautés indigènes, séparées et marginalisées depuis des années, dans la gouvernance des ressources naturelles. C'est pourquoi la Colombie a lancé l'initiative Coalition mondiale pour la paix avec la natureun appel à une action mondiale pour repenser la manière dont les êtres humains se rapportent à l'environnement pour son entretien, sa protection et sa conservation.
Le 21 octobre, le Sommet mondial de la biodiversité, COP16qui devrait se terminer le 1er novembre. Il s'agit de la première COP à se tenir après l'approbation du Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal et son respect doit être assuré, ce qui, entre autres, doit être l'objectif premier du COP16. Le COP16 doit veiller à ce que les différents pays commencent à appliquer les objectifs et les buts du Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréalqu'il y ait le financement nécessaire et de nouveaux mécanismes pour parvenir à l'intégration de la biodiversité dans les politiques sectorielles.
La biodiversité est la base de la vie sur Terre, elle protège la santé, maintient l’économie, combat le changement climatique et soutient les systèmes agricoles qui nourrissent la planète, entre autres choses.. En partie à cause de tout cela, elle est confrontée à la plus grande crise que l’espèce humaine ait jamais connue. Le modèle de production et de consommation actuel continue d’accélérer la sixième grande extinction. La question de savoir si cela commencera à changer dépendra, dans une large mesure, de la question de savoir si COP16 ça va avoir lieu à Cali, comprends-le En 2030, la perte de biodiversité commencera à s’arrêter.
Les thèmes centraux de cette COP16 sont :
- Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal (points 8, 10, 15 de l'ordre du jour). Tel qu'approuvé à la COP15, les pays doivent présenter leurs plans nationaux pour mettre en œuvre le Cadre mondial pour la biodiversité. Il est essentiel que pendant la COP16 Un mécanisme de suivi exigeant et une stratégie de mobilisation des ressources sont approuvés, ce qui permet notamment aux pays en développement de mettre en œuvre de manière adéquate le MMBKM.
- Intégration de la diversité biologique dans tous les secteurs (point 17). Il s'agit d'une question centrale, car tant qu'un modèle de développement non durable persistera dans les différentes politiques sectorielles, la biodiversité continuera à disparaître, quels que soient les efforts consacrés à la conservation de certaines espèces.
- Financement (ordre du jour 17). Des progrès sont attendus dans le financement de mesures visant à rendre compatible le développement des pays économiquement les moins avancés avec la conservation de la nature. Un engagement majeur est nécessaire pour contrôler et éliminer les investissements du secteur financier dans des activités destructrices de la biodiversité (mines, énergies fossiles, macro-infrastructures, etc.), ainsi que l'élimination des subventions et aides publiques à tous ces secteurs et activités incompatibles avec la vie sur la planète (agroalimentaire, aviation, exploitation minière des océans, prospection d’énergies fossiles, nucléaire, etc.).
- De nouvelles techniques génétiques dangereuses (ordre du jour 9, 24). Des décisions doivent être prises pour appliquer le principe de précaution, pour contrôler ou interdire directement certains nouveaux développements technologiques à haut risque, tels que biologie synthétiquele forçage génétiqueou l'utilisation incontrôlée et injuste pour les populations autochtones des informations numériques sur les séquences de ressources génétiques.
- Crise climatique et crise de la biodiversité (ordre du jour 25). La Conférence doit adopter des décisions garantissant que les mesures de lutte contre le réchauffement climatique n’auront pas pour effet secondaire d’aggraver la crise de la biodiversité. Citons par exemple le risque que les mécanismes de compensation des émissions de carbone impliquent des investissements dans des macro-infrastructures ou des plantations forestières d'espèces exotiques, entre autres mesures susceptibles de détruire la biodiversité locale.
La COP16 se déroule dans l'un des pays les plus riches en biodiversité au monde, la Colombie
Son président actuel, Gustavo Petro, s'est activement impliqué à la fois dans la promotion de la rectification des politiques ultralibérales qui détruisent la nature dans son pays et dans l'implication des communautés indigènes, séparées et marginalisées depuis des années, dans la gouvernance des ressources naturelles. C'est pourquoi la Colombie a lancé l'initiative Coalition mondiale pour la paix avec la natureun appel à une action mondiale pour repenser la manière dont les êtres humains se rapportent à l'environnement pour son entretien, sa protection et sa conservation.
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