Un nouveau documentaire met en lumière l'engagement d'un homme envers le plein air
Garrett Eaton, un militaire américain, était déprimé et luttait contre l'alcoolisme après sa mission en Afghanistan. Eaton, qui se décrit comme un « homme d'affaires » pour une plate-forme de forage pétrolier dans les champs pétrolifères de Bakken, dans le Dakota du Nord, avait besoin d'une évasion. Le père de quatre enfants a décidé de se rétablir, mais la véritable guérison a commencé, dit-il dans le nouveau film documentaire Retour de la désolationlorsqu'il est devenu guide de rafting près de Desolation Canyon sur la rivière Green dans l'Utah.
Le film, réalisé par le réalisateur primé Justin Clifton et soutenu par YETI, Chaco, NRS et Espèces-menacées.fr, n'est pas seulement une vignette de la vie d'Eaton en tant qu'ancien combattant, père, mari, alcoolique en convalescence et passionné de plein air ; c'est aussi une note d'amour envers les terres publiques. La possibilité de profiter des espaces naturels compte autant pour Eaton que son service. « J'ai vu une centaine de psys. J'ai pris tous les antidépresseurs et toutes les conneries du monde », explique Eaton dans une partie émouvante du film. « Cet endroit m'a sauvé la vie. » Pour lui, l’utilisation des terres publiques est incroyablement personnelle et nécessaire.
Stacy Bare, l'ancienne directrice du Espèces-menacées.fr Outdoors, fait écho au sentiment exprimé dans le film. Le programme Outdoors apprend en partie aux vétérinaires à devenir des guides de rafting. Eaton a accepté l'offre. Le film revient sur des scènes animées sur la rivière avec Eaton aux commandes d'un radeau, faisant une randonnée autour des canyons où John Wesley Powell, le célèbre explorateur, a traversé il y a plus de 150 ans, et s'arrêtant près des murs d'autres régions de l'Utah où d'anciens pétroglyphes sont gravés. dans les flancs du rocher.
Le film est un appel à ne jamais oublier la majesté et l’importance des espaces sauvages. Eaton ne le fait certainement pas. « Sans cela, je serais certainement mort », dit-il.
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