Les fabricants de tabac ont infiltré les marchés américains avec des aliments « hyper-appétissants » addictifs – Découvrez le scandale !

Dans une nouvelle étude de l’Université du Kansas, il a été démontré que les marques détenues par des entreprises du tabac privilégient les aliments « hyperappétissants » plus que leurs concurrents. Alors que la plupart des Américains qualifient ces produits de « malbouffe », la communauté scientifique les désigne comme « hyperappétissants ». Caractérisés par leurs combinaisons intentionnellement séduisantes de sel, de matières grasses et de sucre, les aliments hyperappétissants sont souvent difficiles à résister et encore plus difficiles à arrêter de consommer.

Dans cette étude, publiée dans le journal Addiction, la chercheuse principale, la Professeure Tera Fazzino, explore la dynamique du système alimentaire américain. Elle révèle que les aliments hyperappétissants, possédant des combinaisons de nutriments liés à la palatabilité tels que les graisses, le sucre et le sel, représentent désormais 68% de l’approvisionnement alimentaire américain.

Les recherches du Professeur Fazzino ont révélé une corrélation surprenante entre les entreprises du tabac et les aliments hyperappétissants. En effet, entre 1988 et 2001, les aliments appartenant à des entreprises du tabac étaient significativement plus susceptibles d’être hyperappétissants en fonction de leur composition nutritionnelle que ceux sans affiliation tabagique.

Les entreprises du tabac, telles que R.J. Reynolds et Philip Morris, ont investi massivement dans le secteur alimentaire américain, favorisant ainsi le développement d’aliments hyperappétissants. Bien que les intentions de ces entreprises restent floues, les données montrent clairement une implication sélective et différenciée des sociétés détenues par les entreprises du tabac.

Cette étude soulève des préoccupations quant à l’influence persistante des aliments hyperappétissants dans le régime alimentaire américain, qui peuvent avoir des conséquences sur la santé, comme l’obésité et d’autres effets néfastes. La chercheuse souligne l’importance de comprendre l’hyperappétibilité pour réguler la composition alimentaire et promouvoir des choix plus sains.