Le coordinateur d'Ecoloxistas d'Asturies dénonce qu'il ne peut pas en être ainsi laissez les pêcheurs fixer les règles sur ce qui peut être capturé et que sais-je encore la saison prochaine dans les rivières asturiennes. Et comme chaque année, cela pose non seulement un problème, mais aussi des solutions.
C'est pour cette raison qu'après la pire saison de pêche dans nos rivières cette année, 2024, ils ont proposé les propositions suivantes à discuter au Conseil Pêche qui se tiendra ce mercredi 16 parce que.Les rivières n'appartiennent pas à certains pêcheursmême si la Principauté n'en tient compte que pour décider quoi pêcher et comment le faire.
Propositions relatives à la pêche
- Pour le saumon en rivière nous proposons l'interdiction totale de toute pêche par rapport à la proposition de la Principauté de permettre la capture de 2 saumons par pêcheur et par saison, comme l'année dernière. Par bassin, il autorise un quota maximum de 240 pour Nalón-Narcea, 210 pour Sella-Piloña et 120 pour Cares-Deva ; Esva 20 et Eo limite 30
- Les spécimens ne seront plus extraits dans les puisards installés sur la balance Nalón, permettant à tous les poissons de ce bassin de remonter naturellement le fleuve.
- Propre et adéquat entretien des infrastructures (échelles et autres) qui facilitent la remontée de la rivière et le retour des poissons à la mer.
- Pour la truite et le poisson, ils proposent une réduction du quota de capture. Leur proposition est de 2 spécimens par pêcheur et par jour (la Principauté en autorise 6 cette année).
- Interdire la pêche avec mort dans le cours supérieur des rivières. La jonction ou le déplacement de deux rivières sera également interdit, 200 m en dessus et en dessous.
- Suspension immédiate du repeuplement. Ils se sont révélés inefficaces pour le rétablissement des espèces de salmonidés. Ils ne sont pas étayés par des études scientifiques.
- Conserver la forêt riveraine et la récupérer là où elle a disparu.
- Récupération des frayères là où ils ont disparu à cause de différentes actions.
- Obligation de maintenir un débit minimum écologique à toutes les entités qui collectent l’eau.
- Contrôler les rejets autorisés existants afin qu'ils respectent les paramètres requis. Surveillance de la rejets illégaux et action en conséquence par les organismes chargés de ce contrôle. Surveillance particulière du bon fonctionnement des stations d'épuration urbaines et industrielles.
- Ils exigent le arrêt des massacres de grands cormorans.
- Contrôle des espèces faunistiques et floristiques non indigènes qui colonisent les rivières au détriment des espèces indigènes.
- Que les pêches maritimes soient priées de interdiction de pêcher la civelle jusqu'au rétablissement total de l'espèce, gravement menacée, ce qui est conforme aux interdiction existante pour son adulte, l'anguille.
- Contrôle du braconnageen améliorant la surveillance de la ressource et de son habitat, avec des moyens plus nombreux et meilleurs pour une pépinière clairement insuffisante et qui devrait être élargie.
Si nous voulons maintenir et améliorer le riche patrimoine naturel et l’importante diversité environnementale des rivières asturiennes, il est essentiel que l'administration applique des mesures de gestion courageuses à court terme. Si la gestion actuelle se poursuit, centrée sur les intérêts de certaines associations de pêcheurs sportifs, le danger de disparition d'espèces aussi emblématiques que le saumon atlantique est évident.
De la Coordinadora Ecoloxista d'Asturies, ils rappellent que les rivières et leurs espèces sont le patrimoine de toute la société asturienne. Et Ils n'appartiennent pas seulement à une poignée de pêcheurs, comme le supposent apparemment les gestionnaires de l'environnement de la communauté.
0 réponse à “L'éternelle polémique sur la pêche dans les rivières des Asturies”